[quote="PhilThib"]1755, nouveaux chef franç]
[color="red"]Jean-Guillaume Plantavit de Lapause de Margon[/color]
(°1721, Pézanas, France, 1804, Pézanas)
Officier
En 1745 il commence sa carrière militaire comme enseigne dans le régiment de Guyenne.
Guerre de sept ans
En 1755 il arrive à Québec avec les troupes régulières commandées par Jean-Armand Dieskau.
En 1756, il prend part à l’expédition de Montcalm contre le fort Chouaguen. Son rôle avec François-Charles de Bourlamaque et d’accomplir des missions de reconnaissance et d’élaborer la stratégie.
De 1757 à 1758, il se déplace à fort Carillon, Fort Chambly et fort William Henry, il donne des avis sur les positions stratégiques, dont certains sont retenus par Montcalm et Lévis.
En 1759, il s’occupe de la défense des frontières de Montréal et de fort Lévis.
En 1760, il continu son rôle de reconnaissance. Puis rentre en France après l’échec de Québec.
De 1761 à 1780, il continu sa carrière et fini maréchal de camp
[color="red"]Jean-Baptiste Philippe Testard de Montigny[/color]
(°1724, Montréal, Canada, +1786, Blois, France)
Eclaireur, Officier dans les troupes de la Marine
De 1730 à 1732, il vie dans le Michigan avec son père ou il apprend la langue et les coutumes indiennes.
En 1736, il devint cadet à la garnison du fort Saint-Frédéric (Crown Point) et rempli parfaitement les fonctions d’éclaireur.
De 1740 à 1748, lors de la guerre de la Succession d’Autriche, Montigny servit sous les ordres de Paul Marin de La Malgue. Il participe à l’attaque de Saratoga en 1745, et mène plus de 30 raids contre les établissements frontaliers de New York et du Connecticut.
Guerre de sept ans
En 1755, il participe, à la tête d’un contingent d’Indiens, sous le commandement de Liénard de Beaujeu à la défense du fort Duquesne contre les troupes du major général Edward Braddock.
En 1756, il attaque et détruit fort Bull (près de New-York), participe au ravitaillement et exhorte les indiens à combattre pour le roi de France.
En 1757, Montigny passa l’année à escorter du ravitaillement à Détroit.
En 1758, il renforce le fort Niagara.
En 1759, il est blessé et capturé, lors d’une embuscade de William Johnson.
En 1764, il se retira à Blois où il vécut jusqu’à sa mort.
[color="red"]Joseph Gaspard Chaussegros de Léry[/color]
(°1721, Québec, + 1797, Québec)
Ingénieur militaire, seigneur et conseiller législatif
Canadien
En 1733, il est cadet dans les troupes de la marine. Il y apprend, l’arpentage, la cartographie et les techniques de construction.
En 1739, il est nommé sous-ingénieur, à un moment où son père était ingénieur en chef de la colonie. Il participe à l’expédition de Pierre Joseph Céloron de Blainville contre les Chicachas.
De 1742 à 1748, il améliore les défenses du fort Saint Frédéric, près de Crown Point, puis celle de Montréal, Chambly et Québec.
En 1746, il accompagne Rigaud de Vaudreuil au cours du raid qui se termina par à la prise du fort Massachusetts. Puis mène, l’année suivante, un groupe d’indiens et soldats français en Nouvelle-Angleterre, contre les établissements Britanniques.
De 1748 à 1756, il dirige la construction du fort Saint-Jean sur le Richelieu, dresse des cartes et construit des forts munis de palissades entre l’Acadie et le fort Duquesne ou il améliore fortification, transport et marchandise. Il devient lieutenant, en 1751.
Guerre de sept ans
En 1756, il détruit avec un groupe mixte de 360 franco-canadien et indien le dépôt du fort Bull à l’est du lac Onéida. Cette destruction réduit pour un temps les ambitions de britannique et favorise la prise du fort Chouaguen (Oswego) par Montcalm. Siège dans lequel Lèry commande brillamment l’aile gauche de corps d’avant-garde de Vaudreuil.
En 1757, il est promu capitaine et améliore les fortifications de Québec, avant l’arrivée de Ponleroy.
En 1758, Chaussegros accompagne de Longueuil lors d’une mission diplomatique en vers les Six Nations.
En 1759, pendant la remonté des Britanniques du Saint-Laurent, il organise l’évacuation des populations. Puis, il participe à la bataille des plaines d’Abraham, il y ai Blessé et fait prisonnier.
En 1761, il est envoyé en France avec sa famille.
En 1764, il rentre à Québec, déçu par le traitement français de ses difficultés. Il courtise alors les nouveaux maîtres du Canada. Le gouverneur Murray l’accueil froidement, mais son remplaçant le gouverneur Guy Carleton lui permet de rester et de prospérer.
En 1775, il rentre au conseil législatif de Québec.
En 1792, il est dans le nouveau conseil législatif du Bas Canada.
Chaussegros a survécu à la rupture provoquée par la Conquête en liant étroitement ses sentiments de loyauté à ses intérêts personnels.
[color="Red"]François-Marie Le Marchand de Lignery[/color]
(°1703, Montréal, Canada, +1759)
Officier dans les troupes de la Marine.
En 1717, il entre dans les troupes de la Marine.
De 1728 à 1744, il participe à plusieurs campagnes contre les indiens (Renards et Chicachas).
En 1744, lors de la guerre de succession de l’Autriche s’étend aux colonies.
En 1745, sous les ordres de Paul Marin de la Malgue, il attaque Port Royale.
En 1746, Sous le commandement de Ramezay puis Coulon de Villiers, il participe aux campagnes d’Acadie.
En 1751, il est promu capitaine, après avoir participé à douze campagnes.
Guerre de sept ans
En 1755, avec Jean-Daniel Dumas, il joue un rôle majeur dans la défaite d’Edward Braddock, lors de la bataille de la Monongahéla.
En 1756 et 1757, il remplace Dumas, comme commandant de l’Ohio, au fort Duquesne, et favorise les raids contre les anglo-américain de Virginie et Pennsylvanie.
En 1758, il harcèle le général John Forbes et ralenti sa progression et défait le major James Grant. Mais ne parvient pas à empêcher l’abandon du fort Duquesne et se retire au fort Machault sur la rivière Ohio.
En 1759, il est blessé et capturé par les anglais, lors d’une embuscade près du fort Niagara, défendu par Pierre Pouchot. Le fort tombe et Lignery meurt peut après.
[color="Teal"]Je connais ces nouveaux chefs...[/color]