evt_nam_supply_fra2
Il doit manquer le texte (dernière version)
Pas de patch, il y a eu plusieurs corrections de bugs et il faut revérifier le tout... Par contre une mise à jour des scénarios est possible:
http://ageoddl.telechargement.fr/Scens107.zip
Les scn vont dans le répertoire scénarios, les sct dans le répertoire events. Cela corrige le problème de la chaine manquante, et il y a 2 ajouts supplémentaires faits par PhilThib, je lui laisse les décrire...
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Les scn vont dans le répertoire scénarios, les sct dans le répertoire events. Cela corrige le problème de la chaine manquante, et il y a 2 ajouts supplémentaires faits par PhilThib, je lui laisse les décrire...
Hofstadter's Law: "It always takes longer than you expect, even when you take into account Hofstadter's law."
Les ajouts :
A - Scenario 1755
- nouveaux chefs français Plantavit, Testard, Léry, Lignery
- Lord Loudon à Williamsburg en 1755 où il reste fixé jusqu'à son remplacement (il a surtout fait du travail d'Etat-Major)
- G.Washington commence avec l'armée de Braddock, laquelle a été renforcée avec milices et artillerie.
- correction du '22nd Foot' qui apparaissait 2 fois
- Certaines unités françaises sont maintenant fixées quelques temps au début de 1755 pour éviter un effet "Total War" ahistorique et déséquilibré (la France et l'Angleterre n'ayant été officiellement en guerre qu'en 1756).
B - Scénarios 1775-1776
- Nouveau chef américain Paterson à Boston 1775 (résoud un aspect historique et des problèmes de commandement)
- nouveaux chefs anglais: William Caldwell dans l'ouest en 1775, Alexander Stewart avec Lord Rawdon,
- remplacement de Skinner par Lord Dunmore à Norfolk, Skinner arrive maintenant quand les anglais prennent New York
- rajout d'une fixation de 2 mois à l'armée de T.Gage army à Boston pour refléter son attitude historique "attentiste" jusqu'à Bunker Hill (juin 75)
- rajout du '1st Rhode Island Black regiment' pour les USA en 1778
- rajout d'un script de renfort pour les Partisans US dans le sud, lorsque les originaux se font éliminer (valable 1778-1780)
- rajout d'un script pour les US qui obtient des remplacement d'artillerie s'ils envoient, au moins une fois l'an, leurs forceurs de blocus ou corsaires dans la mer Eastern Caribbean
- rajout d'unité US (artillery et supply) à St Domingue: le joueur peut aller les chercher et les ramener sur le continent, même avant l'entrée en guerre françaises (représente la contrebande d'armes)
A - Scenario 1755
- nouveaux chefs français Plantavit, Testard, Léry, Lignery
- Lord Loudon à Williamsburg en 1755 où il reste fixé jusqu'à son remplacement (il a surtout fait du travail d'Etat-Major)
- G.Washington commence avec l'armée de Braddock, laquelle a été renforcée avec milices et artillerie.
- correction du '22nd Foot' qui apparaissait 2 fois
- Certaines unités françaises sont maintenant fixées quelques temps au début de 1755 pour éviter un effet "Total War" ahistorique et déséquilibré (la France et l'Angleterre n'ayant été officiellement en guerre qu'en 1756).
B - Scénarios 1775-1776
- Nouveau chef américain Paterson à Boston 1775 (résoud un aspect historique et des problèmes de commandement)
- nouveaux chefs anglais: William Caldwell dans l'ouest en 1775, Alexander Stewart avec Lord Rawdon,
- remplacement de Skinner par Lord Dunmore à Norfolk, Skinner arrive maintenant quand les anglais prennent New York
- rajout d'une fixation de 2 mois à l'armée de T.Gage army à Boston pour refléter son attitude historique "attentiste" jusqu'à Bunker Hill (juin 75)
- rajout du '1st Rhode Island Black regiment' pour les USA en 1778
- rajout d'un script de renfort pour les Partisans US dans le sud, lorsque les originaux se font éliminer (valable 1778-1780)
- rajout d'un script pour les US qui obtient des remplacement d'artillerie s'ils envoient, au moins une fois l'an, leurs forceurs de blocus ou corsaires dans la mer Eastern Caribbean
- rajout d'unité US (artillery et supply) à St Domingue: le joueur peut aller les chercher et les ramener sur le continent, même avant l'entrée en guerre françaises (représente la contrebande d'armes)
nouveaux chefs français
[quote="PhilThib"]1755, nouveaux chef franç] 
[color="red"]Jean-Guillaume Plantavit de Lapause de Margon[/color]
(°1721, Pézanas, France, 1804, Pézanas)
Officier
En 1745 il commence sa carrière militaire comme enseigne dans le régiment de Guyenne.
Guerre de sept ans
En 1755 il arrive à Québec avec les troupes régulières commandées par Jean-Armand Dieskau.
En 1756, il prend part à l’expédition de Montcalm contre le fort Chouaguen. Son rôle avec François-Charles de Bourlamaque et d’accomplir des missions de reconnaissance et d’élaborer la stratégie.
De 1757 à 1758, il se déplace à fort Carillon, Fort Chambly et fort William Henry, il donne des avis sur les positions stratégiques, dont certains sont retenus par Montcalm et Lévis.
En 1759, il s’occupe de la défense des frontières de Montréal et de fort Lévis.
En 1760, il continu son rôle de reconnaissance. Puis rentre en France après l’échec de Québec.
De 1761 à 1780, il continu sa carrière et fini maréchal de camp
[color="red"]Jean-Baptiste Philippe Testard de Montigny[/color]
(°1724, Montréal, Canada, +1786, Blois, France)
Eclaireur, Officier dans les troupes de la Marine
De 1730 à 1732, il vie dans le Michigan avec son père ou il apprend la langue et les coutumes indiennes.
En 1736, il devint cadet à la garnison du fort Saint-Frédéric (Crown Point) et rempli parfaitement les fonctions d’éclaireur.
De 1740 à 1748, lors de la guerre de la Succession d’Autriche, Montigny servit sous les ordres de Paul Marin de La Malgue. Il participe à l’attaque de Saratoga en 1745, et mène plus de 30 raids contre les établissements frontaliers de New York et du Connecticut.
Guerre de sept ans
En 1755, il participe, à la tête d’un contingent d’Indiens, sous le commandement de Liénard de Beaujeu à la défense du fort Duquesne contre les troupes du major général Edward Braddock.
En 1756, il attaque et détruit fort Bull (près de New-York), participe au ravitaillement et exhorte les indiens à combattre pour le roi de France.
En 1757, Montigny passa l’année à escorter du ravitaillement à Détroit.
En 1758, il renforce le fort Niagara.
En 1759, il est blessé et capturé, lors d’une embuscade de William Johnson.
En 1764, il se retira à Blois où il vécut jusqu’à sa mort.
[color="red"]Joseph Gaspard Chaussegros de Léry[/color]
(°1721, Québec, + 1797, Québec)
Ingénieur militaire, seigneur et conseiller législatif
Canadien
En 1733, il est cadet dans les troupes de la marine. Il y apprend, l’arpentage, la cartographie et les techniques de construction.
En 1739, il est nommé sous-ingénieur, à un moment où son père était ingénieur en chef de la colonie. Il participe à l’expédition de Pierre Joseph Céloron de Blainville contre les Chicachas.
De 1742 à 1748, il améliore les défenses du fort Saint Frédéric, près de Crown Point, puis celle de Montréal, Chambly et Québec.
En 1746, il accompagne Rigaud de Vaudreuil au cours du raid qui se termina par à la prise du fort Massachusetts. Puis mène, l’année suivante, un groupe d’indiens et soldats français en Nouvelle-Angleterre, contre les établissements Britanniques.
De 1748 à 1756, il dirige la construction du fort Saint-Jean sur le Richelieu, dresse des cartes et construit des forts munis de palissades entre l’Acadie et le fort Duquesne ou il améliore fortification, transport et marchandise. Il devient lieutenant, en 1751.
Guerre de sept ans
En 1756, il détruit avec un groupe mixte de 360 franco-canadien et indien le dépôt du fort Bull à l’est du lac Onéida. Cette destruction réduit pour un temps les ambitions de britannique et favorise la prise du fort Chouaguen (Oswego) par Montcalm. Siège dans lequel Lèry commande brillamment l’aile gauche de corps d’avant-garde de Vaudreuil.
En 1757, il est promu capitaine et améliore les fortifications de Québec, avant l’arrivée de Ponleroy.
En 1758, Chaussegros accompagne de Longueuil lors d’une mission diplomatique en vers les Six Nations.
En 1759, pendant la remonté des Britanniques du Saint-Laurent, il organise l’évacuation des populations. Puis, il participe à la bataille des plaines d’Abraham, il y ai Blessé et fait prisonnier.
En 1761, il est envoyé en France avec sa famille.
En 1764, il rentre à Québec, déçu par le traitement français de ses difficultés. Il courtise alors les nouveaux maîtres du Canada. Le gouverneur Murray l’accueil froidement, mais son remplaçant le gouverneur Guy Carleton lui permet de rester et de prospérer.
En 1775, il rentre au conseil législatif de Québec.
En 1792, il est dans le nouveau conseil législatif du Bas Canada.
Chaussegros a survécu à la rupture provoquée par la Conquête en liant étroitement ses sentiments de loyauté à ses intérêts personnels.
[color="Red"]François-Marie Le Marchand de Lignery[/color]
(°1703, Montréal, Canada, +1759)
Officier dans les troupes de la Marine.
En 1717, il entre dans les troupes de la Marine.
De 1728 à 1744, il participe à plusieurs campagnes contre les indiens (Renards et Chicachas).
En 1744, lors de la guerre de succession de l’Autriche s’étend aux colonies.
En 1745, sous les ordres de Paul Marin de la Malgue, il attaque Port Royale.
En 1746, Sous le commandement de Ramezay puis Coulon de Villiers, il participe aux campagnes d’Acadie.
En 1751, il est promu capitaine, après avoir participé à douze campagnes.
Guerre de sept ans
En 1755, avec Jean-Daniel Dumas, il joue un rôle majeur dans la défaite d’Edward Braddock, lors de la bataille de la Monongahéla.
En 1756 et 1757, il remplace Dumas, comme commandant de l’Ohio, au fort Duquesne, et favorise les raids contre les anglo-américain de Virginie et Pennsylvanie.
En 1758, il harcèle le général John Forbes et ralenti sa progression et défait le major James Grant. Mais ne parvient pas à empêcher l’abandon du fort Duquesne et se retire au fort Machault sur la rivière Ohio.
En 1759, il est blessé et capturé par les anglais, lors d’une embuscade près du fort Niagara, défendu par Pierre Pouchot. Le fort tombe et Lignery meurt peut après.
[color="Teal"]Je connais ces nouveaux chefs...[/color]
[color="red"]Jean-Guillaume Plantavit de Lapause de Margon[/color]
(°1721, Pézanas, France, 1804, Pézanas)
Officier
En 1745 il commence sa carrière militaire comme enseigne dans le régiment de Guyenne.
Guerre de sept ans
En 1755 il arrive à Québec avec les troupes régulières commandées par Jean-Armand Dieskau.
En 1756, il prend part à l’expédition de Montcalm contre le fort Chouaguen. Son rôle avec François-Charles de Bourlamaque et d’accomplir des missions de reconnaissance et d’élaborer la stratégie.
De 1757 à 1758, il se déplace à fort Carillon, Fort Chambly et fort William Henry, il donne des avis sur les positions stratégiques, dont certains sont retenus par Montcalm et Lévis.
En 1759, il s’occupe de la défense des frontières de Montréal et de fort Lévis.
En 1760, il continu son rôle de reconnaissance. Puis rentre en France après l’échec de Québec.
De 1761 à 1780, il continu sa carrière et fini maréchal de camp
[color="red"]Jean-Baptiste Philippe Testard de Montigny[/color]
(°1724, Montréal, Canada, +1786, Blois, France)
Eclaireur, Officier dans les troupes de la Marine
De 1730 à 1732, il vie dans le Michigan avec son père ou il apprend la langue et les coutumes indiennes.
En 1736, il devint cadet à la garnison du fort Saint-Frédéric (Crown Point) et rempli parfaitement les fonctions d’éclaireur.
De 1740 à 1748, lors de la guerre de la Succession d’Autriche, Montigny servit sous les ordres de Paul Marin de La Malgue. Il participe à l’attaque de Saratoga en 1745, et mène plus de 30 raids contre les établissements frontaliers de New York et du Connecticut.
Guerre de sept ans
En 1755, il participe, à la tête d’un contingent d’Indiens, sous le commandement de Liénard de Beaujeu à la défense du fort Duquesne contre les troupes du major général Edward Braddock.
En 1756, il attaque et détruit fort Bull (près de New-York), participe au ravitaillement et exhorte les indiens à combattre pour le roi de France.
En 1757, Montigny passa l’année à escorter du ravitaillement à Détroit.
En 1758, il renforce le fort Niagara.
En 1759, il est blessé et capturé, lors d’une embuscade de William Johnson.
En 1764, il se retira à Blois où il vécut jusqu’à sa mort.
[color="red"]Joseph Gaspard Chaussegros de Léry[/color]
(°1721, Québec, + 1797, Québec)
Ingénieur militaire, seigneur et conseiller législatif
Canadien
En 1733, il est cadet dans les troupes de la marine. Il y apprend, l’arpentage, la cartographie et les techniques de construction.
En 1739, il est nommé sous-ingénieur, à un moment où son père était ingénieur en chef de la colonie. Il participe à l’expédition de Pierre Joseph Céloron de Blainville contre les Chicachas.
De 1742 à 1748, il améliore les défenses du fort Saint Frédéric, près de Crown Point, puis celle de Montréal, Chambly et Québec.
En 1746, il accompagne Rigaud de Vaudreuil au cours du raid qui se termina par à la prise du fort Massachusetts. Puis mène, l’année suivante, un groupe d’indiens et soldats français en Nouvelle-Angleterre, contre les établissements Britanniques.
De 1748 à 1756, il dirige la construction du fort Saint-Jean sur le Richelieu, dresse des cartes et construit des forts munis de palissades entre l’Acadie et le fort Duquesne ou il améliore fortification, transport et marchandise. Il devient lieutenant, en 1751.
Guerre de sept ans
En 1756, il détruit avec un groupe mixte de 360 franco-canadien et indien le dépôt du fort Bull à l’est du lac Onéida. Cette destruction réduit pour un temps les ambitions de britannique et favorise la prise du fort Chouaguen (Oswego) par Montcalm. Siège dans lequel Lèry commande brillamment l’aile gauche de corps d’avant-garde de Vaudreuil.
En 1757, il est promu capitaine et améliore les fortifications de Québec, avant l’arrivée de Ponleroy.
En 1758, Chaussegros accompagne de Longueuil lors d’une mission diplomatique en vers les Six Nations.
En 1759, pendant la remonté des Britanniques du Saint-Laurent, il organise l’évacuation des populations. Puis, il participe à la bataille des plaines d’Abraham, il y ai Blessé et fait prisonnier.
En 1761, il est envoyé en France avec sa famille.
En 1764, il rentre à Québec, déçu par le traitement français de ses difficultés. Il courtise alors les nouveaux maîtres du Canada. Le gouverneur Murray l’accueil froidement, mais son remplaçant le gouverneur Guy Carleton lui permet de rester et de prospérer.
En 1775, il rentre au conseil législatif de Québec.
En 1792, il est dans le nouveau conseil législatif du Bas Canada.
Chaussegros a survécu à la rupture provoquée par la Conquête en liant étroitement ses sentiments de loyauté à ses intérêts personnels.
[color="Red"]François-Marie Le Marchand de Lignery[/color]
(°1703, Montréal, Canada, +1759)
Officier dans les troupes de la Marine.
En 1717, il entre dans les troupes de la Marine.
De 1728 à 1744, il participe à plusieurs campagnes contre les indiens (Renards et Chicachas).
En 1744, lors de la guerre de succession de l’Autriche s’étend aux colonies.
En 1745, sous les ordres de Paul Marin de la Malgue, il attaque Port Royale.
En 1746, Sous le commandement de Ramezay puis Coulon de Villiers, il participe aux campagnes d’Acadie.
En 1751, il est promu capitaine, après avoir participé à douze campagnes.
Guerre de sept ans
En 1755, avec Jean-Daniel Dumas, il joue un rôle majeur dans la défaite d’Edward Braddock, lors de la bataille de la Monongahéla.
En 1756 et 1757, il remplace Dumas, comme commandant de l’Ohio, au fort Duquesne, et favorise les raids contre les anglo-américain de Virginie et Pennsylvanie.
En 1758, il harcèle le général John Forbes et ralenti sa progression et défait le major James Grant. Mais ne parvient pas à empêcher l’abandon du fort Duquesne et se retire au fort Machault sur la rivière Ohio.
En 1759, il est blessé et capturé par les anglais, lors d’une embuscade près du fort Niagara, défendu par Pierre Pouchot. Le fort tombe et Lignery meurt peut après.
[color="Teal"]Je connais ces nouveaux chefs...[/color]http://www.vorg.fr site de gestion des bénévoles
PhilThib wrote: Paterson, William Caldwell, Alexander Stewart et Lord Rawdon
[color="red"]John Paterson[/color]
(°]Guerre des treize colonies[/B]
En 1775, après la bataille de Lexington, il enrôle une unité dans le comté de Berkshire et part soutenir les colons à Boston. Il construit la première redoute américaine près de Charlestown et participe à la bataille de Bunker Hill.
En 1776, suit à l’évacuation des troupes britannique il part au Canada renforcé les troupes du général Benedict Arnold. Son unité participe à la bataille des Cèdres. Lors de la retraite, il stationne à Crown Point puis rejoint Washington par Albany (pendant se périple son unité à été divisé par trois). Son régiment participe aux batailles de Trenton et Princeton.
En 1777, recommandé par Horatio Gates, il est promu brigadier général, attaché au département nordique. Il montre son efficacité contre John Burgoyne lors de la bataille de Stillwater.
En 1778, on le retrouve avec son régiment pendant la bataille de Monmouth.
En 1783, il est promu major général.
En 1786, pendant la rébellion de Daniel Shays, il commande un détachement de la milice de Berkshire.
Après 1790, Il exerce les fonctions de juge de paix, dans le comté de Broome, et s’implique dans la convention constitutionnelle de 1801.
De 1801 à 1803, il est membre du congrès.
[color="red"]William Caldwell[/color]
(°1750 à Fermanagh, Irlande, +1822 à Amherstburg, Canada)
Officier dans l’armée et dans la milice, marchand, juge de paix et fonctionnaire
Loyaliste
En 1773, il arrive en Amérique du Nord.
En 1774, il participe à la campagne de lord Dunmore, contre les Indiens à la frontière de la Pennsylvanie et de la Virginie.
Guerre des treize colonies
En 1776, il sert avec les troupes de Dunmore et prend part à l’attaque de Norfolk, en Virginie
En 1777, Rétabli de ses blessures, Caldwell est nommé capitaine dans les Butler’s Rangers.
De 1778 à 1781, il partage son temps entre Detroit et Niagara, repoussant toutes les attaques américaines et menant parfois des incursions loin en territoire ennemi.
En 1782, il conduit les troupes britanniques à deux des plus illustres victoires de la guerre : contre William Crawford à Sandusky et à Blue Licks avec Joseph Brant contre John Todd.
Dès la fin de la guerre, Caldwell s’établir dans la région de Detroit, il amasse des biens fonciers et développe le commerce avec les indiens.
En 1788, il est nommé juge de paix du district de Hesse.
En 1794, il renforce la garnison du fort Miamis, pour contrer l’avancé d’Anthony Wayne (bataille de Fallen Timbers)
Guerre de 1812
Lorsque la guerre éclata, Caldwell et quatre de ses fils prirent les armes. Il créé avec Henry Procter les Western Rangers et participe à plusieurs affrontement (bataille de Moraviantown, bataille de Longwood, siège de fort Erie).
A la fin des hostilités, il continue à jouer un rôle de leader dans la société.
[color="red"]Alexander Stewart[/color]
(°1737, Afton, wigtonshire, Angleterre, +1794)
Officier
Loyaliste
En 1755, il est enseigne dans le 37ème Foot.
En 1761, il est nommé capitaine du même régiment.
En 1775, il devient lieutenant colonel du régiment des 3ème Foot (Buffs).
Guerre des treize colonies
En 1778,
En 1780, il atteint le grade de colonel.
En 1781, il remplace Lord Francis Rawdon, depuis la bataille de Hobkirk Hill et commande les troupes britanniques concentré à Orangeburg, lors de la bataille de Eutaw Springs, contre Nathanael Greene et Francis Marion. Défait il se repli sur Charleston.
En 1782, son régiment est transféré en Jamaïque, toujours commandé par colonel Stewart.
En 1790 il finit major général.
En 1793, il devient colonel du 2ème régiment royal de la Reine.
En 1794, Stewart commande la première brigade d'infanterie britannique en Flandre.
[color="red"]Francis Rawdon, Lord, Marquis d’Hastings[/color]
(°1754, Irlande du nord, +1826, près de Naples)
Officier, politicien et Gouverneur
Loyaliste
En 1770, il est au collège d’Oxford
En 1771, il rejoint l’armée britannique dans le 15ème Foot.
Guerre des treize colonies
En 1775, William Howe lui offre un poste de commandement. Il se distingue à la bataille de Bunker Hill.
En 1776, il combat aux batailles de Brooklyn et White Hall.
En 1778, il est promu Adjudant général dans les forces d’Amérique.
En 1780, il commande l’aile gauche, du général Cornwallis, à la bataille de Camden.
En 1781, il commande à la bataille de Hobkirk’s Hill contre Nathaniel Greene.
Capturé par les Français peut-après, il est emprisonné à saint Hélène (Montréal)
En 1783, il obtient le titre de baron.
En 1794 il est envoyé avec 7000 hommes à Ostende (Belgique) pour renforcer la place.
De 1813 à 1823, il est gouverneur de l’Inde et favorise la réparation du canal entre Delhi et Nabab. Pendant sa période en Inde, l’Angleterre remporte la guerre contre le Gurkhas du Népal (1816) s’offre la conquête du Marathas (1818) et l’achat de Singapour.
En 1824, il revient en Angleterre et devient gouverneur de Malte. Il meurt en mer, près de Naples, deux ans après.
[color="Red"]Excellent[/color]http://www.vorg.fr site de gestion des bénévoles
Un os à ronger en plein bac philo...
[CENTER]
Je te retourne le compliment et ce n'est pas ton Avatar qui dira le contraire ! Respect, à votre belle et fine équipe.
"Abnégation" : En plein bac philo... http://www.dicocitations.com et http://www.evene.fr/citations/
- "L'abnégation, la charité résultent le plus souvent d'un défaut de vie personnelle." (Léon Blum)
- "Une sincère et complète abnégation est une vertu préférable à toutes les vertus. Aucune oeuvre d'importance ne peut être faite sans elle." (Maître Eckhart)
[/CENTER]
[SIZE="1"]La philo... On dit que c’est la seul note, dont on se souvient, du bac… moi j’ai eu 13/20… mais c’était un bac technologique ![/size]
Pocus wrote:quel boulot et quelle abnégation Moustic!
Je te retourne le compliment et ce n'est pas ton Avatar qui dira le contraire ! Respect, à votre belle et fine équipe.
"Abnégation" : En plein bac philo... http://www.dicocitations.com et http://www.evene.fr/citations/
- "L'abnégation, la charité résultent le plus souvent d'un défaut de vie personnelle." (Léon Blum)
- "Une sincère et complète abnégation est une vertu préférable à toutes les vertus. Aucune oeuvre d'importance ne peut être faite sans elle." (Maître Eckhart)
[/CENTER]
[SIZE="1"]La philo... On dit que c’est la seul note, dont on se souvient, du bac… moi j’ai eu 13/20… mais c’était un bac technologique ![/size]
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ça plante
Par contre une mise à jour des scénarios est possible:
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Les scn vont dans le répertoire scénarios, les sct dans le répertoire events. [/QUOTE]
J'ai téléchargé le bazar et l'ai mis en place, mais à présent toutes mes campagnes plantent le jeu quand je veux les mettre en route : "a fatal error has occured ..."
Yoroshiku
http://ageoddl.telechargement.fr/Scens107.zip
Les scn vont dans le répertoire scénarios, les sct dans le répertoire events. [/QUOTE]
J'ai téléchargé le bazar et l'ai mis en place, mais à présent toutes mes campagnes plantent le jeu quand je veux les mettre en route : "a fatal error has occured ..."
Yoroshiku
Désolé, ce n'était donc pas une bonne idée, les scénarios nécessitant des unités nouvelles qui ne seront dispo que dans le prochain patch.
En attendant pour corriger la situation, il suffit de réappliquer le dernier patch (1.07e)
En attendant pour corriger la situation, il suffit de réappliquer le dernier patch (1.07e)
Hofstadter's Law: "It always takes longer than you expect, even when you take into account Hofstadter's law."
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