Comment débloquer les indiens en sa faveur

[Loda]

quand on est anglais dans la campagne 1755?

Le français peut débloquer les indiens (sous Oswego) s'il prend Albany d'après ce que j'ai compris). Mais quid de l'anglais? Peut-il juste espérer qu'ils restent neutre en cas d'Albany anglaise?

[PhilThib]

Il y a 2 façons de les débloquer:

* soit prendre fort Frontenac (au nord du lac Ontario)...tous les iroquois se rangent sous la banière britannique...

* soit envoyer une unité anglaise d'une valeur de combat supérieure à celle des iroquois dans les villages (cela les débloque, mais au cas par cas)

[Korrigan]

Dans la campagne de 55, les indiens sont alliés aux Français et le joueur anglais n'y peut rien (à part raser tous leurs villages )

Toutefois, tout comme les Iroquois voleront au secours de la victoire française si ceux-ci prennent Albany, ils n'hésiteront pas non plus à venir donner un coup de main au joueur anglais triomphant si celui-ci prend Fort Frontenac...

Ils sont fourbes ces iroquois!!

(sur ce sujet, voir FAQ UK, question 2.4)

EDIT: Damned, j'ai été battu de 120 secondes par Phil Thib, l'homme qui ne dort jamais à plus d'un 1 m de son PC même le we!!

[moustic]

Cet ouvrage relate les campagnes de ce conflit pendant lequel Amérindiens et Français ont fait une « guerre parallèle », chacun restant fidèle à ses pratiques et à ses objectifs militaires. Comme ceux-ci étaient fréquemment incompatibles, la guerre de Sept Ans est remarquable tout autant par les divergences culturelles qui opposaient les Amérindiens à leurs alliés français que par leurs activités guerrières contre les Britanniques.

" Français et Amérindiens menaient une « guerre parallèle » : tout en combattant conjointement, ils poursuivaient des objectifs militaires différents. Les Français visaient à détruire un fort ou à repousser une armée, alors que les Iroquois se préoccupaient davantage de capturer des ennemis et d’amasser des marchandises. Les batailles de la Monongahela, dans la vallée de l’Ohio en 1754, et du fort Carillon, au sud du lac Champlain en 1758, illustrent bien cette situation.
MacLeod soutient cependant que la guerre de Sept Ans fait naître « un affrontement d’ordre culturel entre les valeurs et les coutumes militaires amérindiennes et européennes ». La technique ultraspécialisée des sièges, les capitulations conclues exclusivement entre Européens, et le mépris des officiers métropolitains pour la philosophie militaire amérindienne, sont autant de facteurs qui reléguèrent les Autochtones au second plan, les empêchant d’amasser butin et captifs. En revanche, les Amérindiens pouvaient faire fi des ententes entre Européens et « continuer à se battre jusqu’à ce qu’ils puissent crier victoire selon leurs propres critères ». C’est ainsi que l’auteur explique les vols d’armes, de vêtements et de provisions ainsi que le massacre et la capture de militaires normalement protégés par les termes de la capitulation durant les sièges des forts Oswego, sur le lac Ontario en 1756, et William Henry, sur le lac Saint-Sacrement en 1757. En 1759, la situation commence à basculer à l’avantage des Britanniques, qui ont pris Québec et rétabli Oswego tout en menaçant sérieusement les territoires des Iroquois du Canada ; ces derniers ont dû alors revoir leur alliance et entamer des négociations avec les Britanniques.
Les trois derniers chapitres de l’ouvrage abordent cette question du revirement de l’alliance iroquoise, tout en mettant en relief le rôle d’intermédiaire joué par les Iroquois des Six Nations. MacLeod soutient en outre que, sans se soucier des objectifs militaires français, les Iroquois du Canada commencèrent à recevoir positivement les propositions de neutralité faites par les Britanniques, à partir de septembre 1759, afin de protéger leur intégrité territoriale.
Mais, tout en négociant avec les Britanniques, les Iroquois continuèrent d’entretenir leur alliance avec les Français et même à se battre à leurs côtés jusqu’à la capitulation de Montréal en 1760. Pour l’auteur, cette attitude ambiguë témoigne de l’indépendance des Iroquois dans leurs relations avec les Européens."

Les Iroquois et la guerre de Sept ans
D. Peter MacLeod, VLB Éditeur, Montréal, 278 pages

http://rs6.loc.gov/intldl/fiahtml/fiachronologyfr.html
http://www.vigile.net/00-9/marsolais-iroquois.html

[Loda]

Ahhhh cool


J'ai quand même une ch'tite chance de voir les indiens avec moi

[Criss Kenton]

C'est curieux, j'ai pris Frontenac depuis plusieurs mois, et les 4 tribus iroquoises restantes sont toujours cadenassées? Est-ce quelles se débloqueraient seulement l'année d'aprés ?

[PhilThib]

Attentions, tous les indiens sont systématiquement rebloqués chaque hiver (de novembre à avril plus ou moins): ils rentrent à leurs villages en quartiers d'hiver...

[jmlo]

C'est curieux, j'ai pris Frontenac depuis plusieurs mois, et les 4 tribus iroquoises restantes sont toujours cadenassées? Est-ce quelles se débloqueraient seulement l'année d'aprés ?

Dan ma partie coté anglais il ne se sont jamais débloqué après la prise du fort.

[Criss Kenton]

J'ai pris Fontenac au Printemps, par une action combinée, par voie de terre depuis Rouillé avec Washington et 2 unités de Rangers, et depuis Oswego par voie amphibie avec Braddock et plusieurs régiments. Et pourtant, les tribus n'ont pas bougées. Mais au point où j'en suis, ce n'est plus trop grave, Montreal est complétement encerclée, et je vais pouvoir envoyer Rogers et ses rangers s'emparer de Detroit, comme dans la réalité historique

[PhilThib]

Mea culpa...ce sont les fort Frontenac ET Niagara qu'il faut contrôler par les anglais pour débloquer les iroquois (cf. fichier Indians55.inc)

[Criss Kenton]

Euh, j'avais pris Niagara l'année d'avant

[Pocus]

ok je viens de tester, ca ne fonctionne plus... On a changé le nom de la région dans le script et ca ne va pas: Fort Niagara est à Tegynagerunte, le script demandant de controler Niagara!

Donc bien vu, on va remettre ca au propre sur le prochain patch.

[Criss Kenton]

Super !

[Cat Lord]

Je vois que y a un mousitc qui a de saines lectures, ici...

Cat

[epsilon]

Pour revenir sur les indiens, j'ai capturé un convois de ravitaillement et l'alternative est la suivante, soit les indiens essaye de ramener le ravitaillement et se trainnent soit le ravitaillement essaye de rentrer tout seul et se fait recapturer. Je trouverais normal que les indiens puissent détruire le ravitaillement.
D'une manière plus général quand des troupes légères capturent ravitaillement et cannons il faudrait pouvoir les détruires (bruler les convois, enclouter les canons). Peut que si les indiens sont seuls ils pillent les convois automatiquement.

Des sugestions pour les versions suivantes

[Pocus]

c'est une trés bonne suggestion, raisonnable et qui est dans l'air du temps car on doit rajouter quelque chose sur les irréguliers ces jours-ci.