Rapport au roy
Posted: Wed Feb 25, 2009 6:07 pm
[CENTER][SIZE="5"]Rapport au roy sur les opérations militaires en terres de Nouvelle-France[/size][/CENTER]
[SIZE="1"][CENTER]D'après les lettres du gouverneur général de Nouvelle-France, Pierre de Rigaud de Vaudreuil [/CENTER][/size]
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[SIZE="6"]1755[/size]
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[SIZE="1"]Pierre de Rigaud de Vaudreuil[/size][/CENTER]
[SIZE="3"]Rapport du mois de Juillet, 1755[/size]
Le Sieur de Dieskau est arrivé en Nouvelle-France dans le bourg que l'on appelle Québec avec quelques 3000 soldats, des armes et des provisions. Ce petit bourg, d'à peine 7000 âmes. À peine 400 soldat et quelques batteries pour défendre l'entrée au fleuve St-Laurent, ces 3000 soldats seront un très bon ajout pour aider à la défense de la Nouvelle-France. J'ai informé le Sieur toute fois, que l'on peut lever jusqu'à 800 milicien[color="Blue"](1)[/color] environ en cas de besoin. Ces miliciens ne seront pas de grande utilité par contre, ils n'arrivent même pas à ce mettre en formation et ont de grandes difficultés à reconnaitre la droite de la gauche lors des formation.[color="Blue"](2)[/color] Je l'informe aussi que des régiments de milices du même genre peuvent être levés à Montréal et Trois-Rivières aussi, mais qu'ils ne sont guère mieux entraînés.
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[SIZE="1"]Le Sieur Jean-Armand, baron de Dieskau[/size][/CENTER]
Quelques jours après son arrivé je reçu une lettre d'un courrier. Cette lettre était du capitaine de la compagnie franche, du fort Beauséjour ce situant en Acadie. Ils seraient sous siège par 800 réguliers Anglais. Je pris la décision d'envoyer un courrier au Sieur de Boishébert de rassemblé toute les forces lui étant disponible, aussi bien indiens, qu'acadiens pour aller porter secours au fort Beauséjour, étant le seul point fort empêchant les Anglais d'envahir l'Acadie.
[SIZE="3"]Rapport du mois d'Août, 1755[/size]
À la fin du mois de Juillet, 1755, un groupe d'indiens, vraisemblablement de la tribu Oneida, allié des Anglais, fût aperçu dans les environs du fort St-Frédéric, près du Lac Champlain. J'en fût avertis au début du mois d'Août par des rapports venant du fort. Je décidai donc d'envoyer des renforts au fort, ainsi que des outils pour améliorer les défenses du fort. J'envoyai un courrier au Sieur Dieskau pour envoyer les 777 soldats du 2ème Bataillon du Languedoc, avec un chariot d'outils,d'armes et de provisions, vers Montréal pour rejoindre un groupe de coureurs des bois mélangés de milicien, de Montréal, avec un autre chariot pour ensuite être envoyer vers le fort St-Frédéric. Ils devraient arriver à Montréal d'ici la fin du mois, m'informe le Sieur dans sa réponse.
[SIZE="3"]Rapport du mois de Septembre, 1755[/size]
Au début du mois de Septembre, le 2ème Bataillon du Languedoc étant bel et bien arrivé à Montréal, il se prépara à partir vers le fort St-Frédéric. Il a rejoint le groupe de coureurs et miliciens dirigé par le Sieur de Léry, un bon capitaine lorsqu'il s'agit d'améliorer les protection d'un fort, et le groupe se mit en direction du fort. D'après plusieurs rapports des troupes au fort St-Frédéric, j'appris que plusieurs réguliers Anglais auraient été aperçu avec leurs alliés Oneida. J'attend le rapport du Sieur de Léry avant d'entreprendre quelque opération que ce soit dans ce secteur. Au milieu du mois, le Sieur Dieskau m'envoya un courrier à propos d'un bateau, venant de France, apportant du ravitaillement ainsi que quelques pièces de canons de campagnes, était arrivé à Québec.
[SIZE="3"]Rapport du mois d'Octobre, 1755[/size]
Au début du mois, je reçu des nouvelles de l'Acadie et du Sieur de Boishébert. Il m'annonçait qu'après avoir rassemblé les tribus Maliseet, Passamaquoddy et Mi'kmaq, il s'était dirigé vers le fort Beauséjour et avait engagé une colonne de réguliers Anglais, le 18 du mois de Septembre, se dirigeant vers le fort pour l'assiéger. Les Anglais laissèrent plus de 60 hommes après s'être repliés les nôtre perdant que quelques domiciliés.
[SIZE="3"]Rapport du mois de Novembre, 1755[/size]
Arrivé de l'hiver. Les communications sont rendues très difficile à la fin du mois j'apprends, par des marchand de fourrures faisant du commerce avec quelques indiens dans la région d'Adirondak, qu'une grande force d'hommes en armes serait arrivée au fort St-Frédéric et qu'il semblait y avoir de grand travaux en cours. Ça ne peut-être que le Sieur de Léry. J'attend toujours de ses nouvelles.
[SIZE="3"]Rapport du mois de Décembre, 1755 [/size]
Une lettre de sa majesté m'est parvenu au début du mois. Elle concerne le Sieur de Dieskau qui serait remplacé par le Sieur Marquis de Montcalm. Le Sieur Montcalm serait accompagné de renfort et d'approvisionnement. Au milieu du mois je reçu enfin des nouvelles du Sieur de Léry. Celui-ci aurait fini de construire les amélioration au fort St-Frédéric. Il m'informe aussi qu'il aurait été informé que les Anglais ont finis la construction d'un fort sur la rive Sud du Lac Ontario. Les milices sont dissoutes pour permettre aux miliciens de retourner à leurs récoltes et familles.
[color="Blue"](1) 5000 miliciens pour toute la régions de Québec en vérité, plus de 1500 pour Trois-Rivières et plus de 4000 pour Montréal en 1750.[/color]
[color="Blue"](2) Fait historique, les miliciens n'était que très peu entraînés, il y avait bien un capitaine faisant le tour des paroisses pour les entraînés, mais étant donné le grand nombre de celles-cis il ne passait que très rarement. En plus de leur entraînement médiocre la moitié, environ, des miliciens n'étaient pas armés.[/color]
[SIZE="1"][CENTER]D'après les lettres du gouverneur général de Nouvelle-France, Pierre de Rigaud de Vaudreuil [/CENTER][/size]
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[SIZE="6"]1755[/size]
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[SIZE="1"]Pierre de Rigaud de Vaudreuil[/size][/CENTER]
[SIZE="3"]Rapport du mois de Juillet, 1755[/size]
Le Sieur de Dieskau est arrivé en Nouvelle-France dans le bourg que l'on appelle Québec avec quelques 3000 soldats, des armes et des provisions. Ce petit bourg, d'à peine 7000 âmes. À peine 400 soldat et quelques batteries pour défendre l'entrée au fleuve St-Laurent, ces 3000 soldats seront un très bon ajout pour aider à la défense de la Nouvelle-France. J'ai informé le Sieur toute fois, que l'on peut lever jusqu'à 800 milicien[color="Blue"](1)[/color] environ en cas de besoin. Ces miliciens ne seront pas de grande utilité par contre, ils n'arrivent même pas à ce mettre en formation et ont de grandes difficultés à reconnaitre la droite de la gauche lors des formation.[color="Blue"](2)[/color] Je l'informe aussi que des régiments de milices du même genre peuvent être levés à Montréal et Trois-Rivières aussi, mais qu'ils ne sont guère mieux entraînés.
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[SIZE="1"]Le Sieur Jean-Armand, baron de Dieskau[/size][/CENTER]
Quelques jours après son arrivé je reçu une lettre d'un courrier. Cette lettre était du capitaine de la compagnie franche, du fort Beauséjour ce situant en Acadie. Ils seraient sous siège par 800 réguliers Anglais. Je pris la décision d'envoyer un courrier au Sieur de Boishébert de rassemblé toute les forces lui étant disponible, aussi bien indiens, qu'acadiens pour aller porter secours au fort Beauséjour, étant le seul point fort empêchant les Anglais d'envahir l'Acadie.
[SIZE="3"]Rapport du mois d'Août, 1755[/size]
À la fin du mois de Juillet, 1755, un groupe d'indiens, vraisemblablement de la tribu Oneida, allié des Anglais, fût aperçu dans les environs du fort St-Frédéric, près du Lac Champlain. J'en fût avertis au début du mois d'Août par des rapports venant du fort. Je décidai donc d'envoyer des renforts au fort, ainsi que des outils pour améliorer les défenses du fort. J'envoyai un courrier au Sieur Dieskau pour envoyer les 777 soldats du 2ème Bataillon du Languedoc, avec un chariot d'outils,d'armes et de provisions, vers Montréal pour rejoindre un groupe de coureurs des bois mélangés de milicien, de Montréal, avec un autre chariot pour ensuite être envoyer vers le fort St-Frédéric. Ils devraient arriver à Montréal d'ici la fin du mois, m'informe le Sieur dans sa réponse.
[SIZE="3"]Rapport du mois de Septembre, 1755[/size]
Au début du mois de Septembre, le 2ème Bataillon du Languedoc étant bel et bien arrivé à Montréal, il se prépara à partir vers le fort St-Frédéric. Il a rejoint le groupe de coureurs et miliciens dirigé par le Sieur de Léry, un bon capitaine lorsqu'il s'agit d'améliorer les protection d'un fort, et le groupe se mit en direction du fort. D'après plusieurs rapports des troupes au fort St-Frédéric, j'appris que plusieurs réguliers Anglais auraient été aperçu avec leurs alliés Oneida. J'attend le rapport du Sieur de Léry avant d'entreprendre quelque opération que ce soit dans ce secteur. Au milieu du mois, le Sieur Dieskau m'envoya un courrier à propos d'un bateau, venant de France, apportant du ravitaillement ainsi que quelques pièces de canons de campagnes, était arrivé à Québec.
[SIZE="3"]Rapport du mois d'Octobre, 1755[/size]
Au début du mois, je reçu des nouvelles de l'Acadie et du Sieur de Boishébert. Il m'annonçait qu'après avoir rassemblé les tribus Maliseet, Passamaquoddy et Mi'kmaq, il s'était dirigé vers le fort Beauséjour et avait engagé une colonne de réguliers Anglais, le 18 du mois de Septembre, se dirigeant vers le fort pour l'assiéger. Les Anglais laissèrent plus de 60 hommes après s'être repliés les nôtre perdant que quelques domiciliés.
[SIZE="3"]Rapport du mois de Novembre, 1755[/size]
Arrivé de l'hiver. Les communications sont rendues très difficile à la fin du mois j'apprends, par des marchand de fourrures faisant du commerce avec quelques indiens dans la région d'Adirondak, qu'une grande force d'hommes en armes serait arrivée au fort St-Frédéric et qu'il semblait y avoir de grand travaux en cours. Ça ne peut-être que le Sieur de Léry. J'attend toujours de ses nouvelles.
[SIZE="3"]Rapport du mois de Décembre, 1755 [/size]
Une lettre de sa majesté m'est parvenu au début du mois. Elle concerne le Sieur de Dieskau qui serait remplacé par le Sieur Marquis de Montcalm. Le Sieur Montcalm serait accompagné de renfort et d'approvisionnement. Au milieu du mois je reçu enfin des nouvelles du Sieur de Léry. Celui-ci aurait fini de construire les amélioration au fort St-Frédéric. Il m'informe aussi qu'il aurait été informé que les Anglais ont finis la construction d'un fort sur la rive Sud du Lac Ontario. Les milices sont dissoutes pour permettre aux miliciens de retourner à leurs récoltes et familles.
[color="Blue"](1) 5000 miliciens pour toute la régions de Québec en vérité, plus de 1500 pour Trois-Rivières et plus de 4000 pour Montréal en 1750.[/color]
[color="Blue"](2) Fait historique, les miliciens n'était que très peu entraînés, il y avait bien un capitaine faisant le tour des paroisses pour les entraînés, mais étant donné le grand nombre de celles-cis il ne passait que très rarement. En plus de leur entraînement médiocre la moitié, environ, des miliciens n'étaient pas armés.[/color]